Aamoa / Pl.Tz.H.1

Nom :
Aucun

Prénom :
Baptisée Pl.Tz.H.1. Mais elle répond aussi au prénom presque normal d’Aamoa

Surnom :
Pour l’instant aucun

Age :
17 ans

Date de naissance :
19 Août

Nationalité :
Britanniques

Origines :
Un laboratoire.

Cursus :
Zéro scolarité. Elle a apprit à lire, écrire, compter et vaguement se comporter en société par son créateur via des écrans le plus souvent. Elle a suivi des cours de préparation à la manipulation puis à l’extermination de la race humaine mais elle a visiblement mal comprit le principe.

Histoire :
Dans son cas on ne peut pas vraiment parler de naissance. Disons donc qu’elle a été créée à Londres. Plus précisément dans un laboratoire clandestin en sous-sol tenu par un extra-terrestre expert en génétique et désireux de créer une armée d’hybrides capables de se fondre parmi les humains, de s’en faire aimer, pour ensuite mieux les exterminer. (EXTERMINE !!!! Dalek power !… je me calme TT). Encore un de ces mégalo en liberté voulant s’approprier la Terre, s’arroger maître de ce monde et piller ses ressources. Réputé sur sa planète d’origine qui demeure inconnu, il en fut banni à cause de ses manipulations illégales à la moralité douteuse. Il s’exila donc sur Terre où il entreprit de continuer ses travaux en s’établissant sous Londres, caché aux yeux de tous et pourtant bien présent. De plus il n’était pas partit pas les mains vides. Au cours de ses longues années de pratique, et de ses voyages, il avait récolté des échantillons ADN de nombreuses espèces aliens.
Après maints essais non concluant, il testa une nouvelle forme de métissage. La base demeurait humaine, mais il y ajouta cette fois de l’ADN de tenza, puis de plasmavore. Comme avec tous ses « protégés » comme il les appel, il laissa la nature prendre le relais, et c’est ainsi que prit forme la première d’une nouvelle espèce hybride : la Pl.Tz.H.1. La créature grandit dans une sorte d’éprouvette géante où elle resta jusqu’à ses huit ans, reliée à divers solutions stabilisant son état génétique, ainsi qu’à un ordinateur téléchargeant directement des informations sur le mode de vie terrestre dans son cerveau. Enfin elle put être débranchée et ouvrit les yeux sur un monde de tubes à essais et d’écrans sordides, parmi des frères et sœurs ne lui ressemblant pas du tout. Il s’agissait en fait des précédentes expériences gardées sous le coude par le génie fou en guise de renfort si sa parfaite armée en cours venait à manquer d’effectifs. Pour l’instant il n’y avait pas d’armée de toute façon. Pl.Tz.H.1 était la première en qui il plaçait une espérance justifiée. En effet la petite était très attachante, répondant à ses moindres désirs, faisant preuve d’une puissante empathie. Nul doute que les pauvres humains naïfs craqueraient devant son apparente innocence. Apparemment le côté Tenza était bien encré et pour l’instant elle ne manifestait aucun signe de pantophobie. En revanche l’imprégnation de la partie plasmavore semblait compromise. Aucune agressivité chez elle pas même face aux stimulations habituelles à savoir confrontation à une situation de mort éminente, engueulade, bousculade… Il observa en revanche une tendance prononcée à mettre à l’abri des petites choses auxquelles elle s’attachait. Pas grand chose, parfois juste un stylo qu’il lui donnait pour écrire. Il se demanda ce qu’il se passerait s’il lui enlevait ce stylo ou, pire, s’il lui enlevait quelque chose de vraiment important pour elle. Il lui offrit donc de petits cadeaux qui la ravissaient à chaque fois, et, quelques temps plus tard, les lui faisait enlever par un de ses larbins, préférant ne pas se la mettre lui-même à dos et rester « celui qui fait des cadeaux » et pas celui qui récupère ses cadeaux. Un jour il lui apporta un lapin en peluche ayant appartenu à une petite fille (qui ne se remettait pas de la perte de son doudou d’ailleurs). Pl.Tz.H.1, habituée aux déceptions multiples, demanda simplement : « à moi ? ». « Oui », lui répondit l’homme fourbe, avant de lui retirer la peluche quelques semaines plus tard. Le résultat ne se fit pas attendre. Elle entra dans une terrible colère, voulant récupérer à tout prix son bien. Son visage se transforma, révélant des yeux entièrement noirs aux cernes saillantes marbrées de veines sombres, ses canines s’allongèrent légèrement tandis que ses autres dents se faisaient tranchantes. Enfin une réaction de plasmavore ! Enfin réalisait-t-elle qu’une soif de sang reposait en elle ! Il parvint à calmer ce débordement en lui offrant un joli petit collier dont le pendentif contenait un émetteur psychique ainsi qu’un localisateur. Ainsi il pourrait la suivre à la trace et communiquer avec elle en cas de besoin une fois lâchée en surface. Et comme c’était un cadeau il était sûr qu’elle ne s’en séparerait jamais. Cette fois quand elle demanda « à moi » il insista bien « oui, rien qu’à toi et à toi seule, pour toujours ». Elle s’y accrocha donc désespérément.
Plus tard il voulut vérifier qu’elle serait bien prête à donner la mort s’il le fallait. Il l’autorisa donc à lier amitié avec l’une de ses sœurs censées être croisé fée mais qui n’en avait presque aucune caractéristique si ce n’est une couleur verte et des dents aiguisées. Des mois durant, les deux filles parlèrent et s’entendirent bien. D’abord toujours seules, le médecin les emmena à fréquenter d’autres pensionnaires. Il s’avéra que la semi fée était le souffre douleur de ses petits camarades. L’un d’eux, plus virulent et visiblement chef de bande (vu sa sale tête, ses doigts griffus, et son comportement violent on comprenait aisément qu’il ne risquait pas de passer inaperçu au milieu des humains), s’en prit une fois de plus à la petite pacifique. Une fois de trop à vrai dire. Aussitôt Pl.Tz.H.1 passa à l’attaque. Forte et incroyablement rapide elle se saisit du monstre, lui brisa un bras et lui saisit la gorge avec ses dents, lui pompant le sang jusqu’à ce que son amie la supplie d’arrêter. Mal en point, le caïd gisait au sol. Le maître arriva sur ces entrefaites. Ayant suivi la scène grâce aux caméras de surveillance, il était certes heureux d’avoir obtenu la réaction escomptée mais beaucoup moins qu’elle ne soit pas allé jusqu’au bout. Il se planta donc devant la jeune fille et lui expliqua que ce monstre avait voulu tuer son amie et que si elle ne le tuait pas, il recommencerait. C’était un ordre, et comme d’habitude, elle obéit. Elle l’acheva d’une violente torsion de la nuque.
A partir de ce jour elle fut considérée comme la nouvelle chef et personne n’osa plus s’en prendre à son amie moche, faible, et fée. Un plan se dessinait dans le cerveau malade du cruel savant. Il allait cloner la semi fée, et créer son armée de Pl.Tz.H. Ensuite il lâcherait sa nouvelle armée dans Londres, les laisseraient s’y faire une place, puis, le moment venu, enverrait les clones de la semi fée. L’armée tuerait ces monstres et il n’aurait qu’à informer ses Pl.Tz.H. (qui auraient reçu le capital émotionnel du model d’origine) que les humains voulaient tuer leurs amies. Les représailles seraient la mort.
Malheureusement, la semi-fée s’étant avérée être un fiasco, il n’avait pas gardé en mémoire son patrimoine génétique. Il dût donc la prendre et l’emmener dans un secteur à part pour pouvoir la cloner. Sans en avertir Pl.Tz.H.1 qui, ne la voyant plus se mit à paniquer. Elle interrogea les autres mais ils furent incapables de lui répondre malgré sa colère qui les terrifiait. On tenta de la placer de force dans sa cellule mais elle se libéra et prit la fuite. Elle trouva la sortie et quitta le laboratoire pour la surface.
Elle atterrit de nuit, au beau milieu de la capitale. L’air frais la calma suffisamment pour qu’elle retrouve figure humaine. Au même moment un jeune homme à la dégaine miteuse lui demanda si elle cherchait quelque chose. Elle lui répondit tout naturellement qu’elle cherchait une amie, et, sa nature de tenza revenant au galop, adopta un ton gentillet additionné d’un regard perdue. Visiblement attendrit, l’adolescent lui dit qu’il ne savait pas où était passé son amie mais que si elle voulait il savait où s’en faire plein. Une idée qui plut énormément à Pl.Tz.H.1 sans qu’elle ose y croire. Le garçon, qui croyait que la jeune fille était une fugueuse ou une nouvelle sdf, se présenta sous le nom de Phil ajoutant « ton nouvel ami ». Ce à quoi elle répondit éberluée dans un murmure : « à… moi ? ». Ce que Phil interpréta comme étant son prénom et il acquiesça, celant son destin de bien à protéger. Son attention provisoirement détournée, Pl.Tz.H.1 devenue « Aamoa » suivit le dit Phil jusqu’à un foyer pour jeunes où elle mangea et dormit. Elle vécut au petit bonheur la chance par la suite, menant une vie de bohème guidée à travers la ville par Phil qui lui faisait découvrir tous les bons plans. Mais rapidement c’est Aamoa qui prit les choses en mains une fois les bases acquises. Les marchands de glace lui offrait généreusement des cornets délicieux, les grand-mères l’invitaient à prendre le goûter, hommes et femmes étaient toujours près à la dépanner de quelques livres… Comme si nuls ne pouvaient lui résister, elle avait l’air de toujours savoir quoi faire pour obtenir ce qu’elle voulait et possédait un véritable don pour consoler ou aider les gens. Seule une minorité de personne se sentait mal à l’aise devant elle et préférait s’éloigner lorsqu’elle s’approchait d’eux, mais avec un air sincèrement navrée.
Elle aurait pu continuer à vivre de la sorte, entourée d’amis et à la merci de la bonne volonté des gens, mais un soir tout bascula. Phil et elle étaient sortit faire un tour. Grâce à ses aptitudes un peu particulières, ils avaient pu s’offrir des vêtements dignes de ce nom. Pas la grande classe mais correctes. Un homme malintentionné les prenant pour un couple en balade les aborda, menaçant, réclamant leur porte feuille et leurs bijoux. Phil s’interposa, tentant de calmer le jeu. Mais l’empathie d’Aamoa savait pertinemment qu’il n’y avait pas moyen de discuter avec ce type. Et elle avait raison. La situation s’envenima et l’inconnu sortit un couteau, prêt à taillader Phil en cas de nouveau refus. Rapide, Aamoa saisit son bras et le fractura comme elle l’avait déjà fait plusieurs mois auparavant avec un des monstres du savant fou. L’homme la repoussa d’un coup de pied et récupéra son arme tombée à terre mais Aamoa n’en avait pas fini. Phil était en danger, elle devait le protéger. Le temps d’un soupire et son visage redevenait celui d’un vampire. Tout croc dehors elle mordit l’agresseur qui s’effondra, mort. Phil était sous le choc. Aamoa retrouva figure humaine et voulu le prendre dans ses bras pour le réconforter mais il fit un pas en arrière. Elle ne comprenait pas ce qui clochait et fit donc appel au don des tenzas pour plaire à Phil. Mais au lieu de le rassurer cela l’effraya d’avantage et il partit en courant, lui hurlant de ne plus jamais l’approcher.
Ce fut un coup dur pour Aamoa qui perdait un ami d’une façon inédite.
Déprimée, elle erre depuis longtemps seule, faisant ce pour quoi elle a été créée : apprendre, plaire et se fondre dans la masse. Elle s’attache à ce qu’elle trouve ou à ce qu’on veut bien lui donner. Mais son besoin de posséder quelque chose attire parfois l’attention, d’autant qu’elle préfère les objets ayant une histoire, un lien affectif puissant à s’approprier. Autre problème, le meurtre du vaurien. Non résolu mais qui fait jaser les journaux. Apparemment Londres seraient victime d’un vampire d’après la presse, ce que les autorités s’empressent de démentir. Pourtant, cela fait deux fois qu’Aamoa a gouté au sang et si ce n’est pas encore une nécessité comme pour les plasmavores, elle est victime d’une soif qu’aucune boisson ne semble vouloir apaiser. Rien d’additif pour l’instant mais pour combien de temps encore ?

Description du caractère :
Véritable compote génétique de trois espèces radicalement opposées, Aamoa a du mal à trouver sa propre personnalité. Elle possède l’empathie et la capacité à se faire aimer des tenza, mais également les aptitudes mortelles des plasmavores. Son côté humain se manifeste surtout dans sa façon de parler et de se conduire en société. Elle est toujours très naturelle, un peu naïve, et ravie lorsqu’elle participe à des conversations corroborant ce qu’elle a apprit au laboratoire au sujet de la Terre. Ainsi il lui arrive de débiter des informations sur un sujet (souvent pas bien utiles ou intéressant, ou au contraire limite confidentiel) comme si elle récitait une leçon apprise par cœur. Très sociable elle n’hésite pas à aller vers les gens et apprécie énormément leur compagnie. Créée pour passer inaperçue, ses facilités d’apprentissages lui permettent de ne pas avoir l’air de tout découvrir et d’attirer les soupçons. Elle s’adapte donc très vite à toutes les activités.
Elle est aussi caractérisée par un manque totale d’amour propre, voir de volonté. Si on lui donne un ordre elle obéit. Par nécessairement par devoir, mais plus parce qu’elle veut toujours faire plaisir aux gens et ne supportent pas de leur déplaire. Parfois elle semble capable de modifier son apparence pour mieux se faire aimer. Rien de sensationnel, c’est plus dans le ressentit ou dans d’infimes détails physiques. En fait elle a presque viscéralement besoin d’un supérieur qui la soumette à ses ordres, sans quoi elle serait perdue. Autre particularité, son empathie s’applique aussi sur les objets. Traumatisée par ses années passées au laboratoire où on la privait régulièrement de ce qu’elle aimait, elle s’attache surtout aux objets de valeurs sentimentales pour leur propriétaire, comme si elle cherchait à s'imprégner de leur histoire et à devenir comme eux. Finalement on peut dire qu’elle se cherche une personnalité, une vie, sans en avoir conscience. Attention toutefois, il faut se montrer vigilant lorsqu’elle entre dans une pièce chargée d’objets personnels. Car si elle en choisit un et demande « à moi ? » il faut rapidement lui dire non et décliner l’identité du propriétaire. En cas de non réponse ou de réponse incomplète, elle estimera que cela lui appartient et, dans une effusion de joie intense, brandira l’objet de ses envies en l’air et courra avec pendant une durée indéterminée allant de quelques seconde à plusieurs minutes. A part cette curieuse habitude, elle se comporte assez normalement en général. Oui enfin si on omet qu’elle n’hésite pas à pomper le sang de tous les méchants qui s’en prennent à ceux dont elle a décidé qu’ils étaient sous sa protection… Une fois qu’elle apprécie quelqu’un c’est comme si elle se l’était approprié, surtout pas touche où ça pourrait virer au drame.

Description physique :
En un mot : standard. De taille moyenne on ne peut pas dire qu’elle soit « remarquable ». C’était le but de sa création aussi, passer inaperçue. Elle n’est pas non plus tout à fait invisible puisqu’elle attire immanquablement la sympathie. Ses cheveux bruns sont long et ondulés et s’accordent avec ses yeux chocolat. Ses traits lui octroient des origines inconnues lui donnant un côté un peu exotique (c’est le moins que l’ont puisse dire), et son sourire est assez atypique. Imparfait mais doté d’un certain charme qui lui assure une sorte de compassion instantanée. Ses vêtement classiques et assez sombres, lui donne un look passe partout. Finalement si visuellement elle n’est pas forcement très particulière, sa différence s’inscrit dans le ressentit. Certes elle sait se faire apprécier et se fondre dans la masse, mais il se dégage d’elle une aura inquiétante partageant les humains avec un semblant d’instinct de survie entre deux sentiments contradictoires : la tendresse et la peur. Heureusement pour elle de tels êtres sont plus rares qu’on ne le pense. Enfin elle porte un collier d'une forme banale, légèrement en poire ou en forme de fiole contenant un localisateur et un émetteur psychique permettant à son créateur de toujours savoir où elle est et de communiquer avec elle au besoin. Pour l'instant ce n'est pas encore le cas, il attend le bon moment.

Goûts :
Elle aime la pluie et le soleil, ainsi que le vent, les nuages, et même le tonnerre. Bref elle préfère vivre en extérieur et aime le contacte humain. Elle ne vie que pour faire plaisir aux autres et protéger ceux qui veulent bien d’elle. Elle a un goût prononcé pour les objets au passé émotionnellement chargé. Elle aime recevoir des cadeaux et accomplir les tâches qu’on lui donne. Elle n’aime pas que l’on fasse du mal à ceux qu’elle imagine être sous sa protection ou qu’on lui enlève un objet qu’elle considère comme sien. Elle est dingue de grenadine mais déteste la verveine.

Signe distinctif :
Expérimentation génétique hybride d’humaine, de tenza, et de plasmavore. Quand on lui donne quelques chose (ou qu’elle se l’approprie parce que personne ne le lui a interdit) elle le serre contre son cœur et se met à courir avec l’objet au dessus de sa tête en poussant un crie de victoire pendant plusieurs secondes voir minutes.

Domaine de prédilection :
L’empathie et la protection. S’approprier des objets personnels.

Te voilà officiellement validée.

Bienvenue à bord du TARDIS, ou au QG de Torchwood... Tu veux faire partie de quel rp ? oO

Ça m'est égal U_u même si je préfère le docteur !! sinon ça peut être les deux en même temps... Vu que je me vois mal être une "compagnonne" (du moins pour l'instant, après je ne sais pas pour l'avenir TT). Donc voyez-moi comme euh... une mission =) Enfin une partie de la mission, hein le méchant c'est le fou dingue en sous sol xD Moi je suis juste un peu perturbée ^^""

Ok tu veux être la cause du prochain voyage du Docteur ? Là Robin et Sue quittent Nikola Tesla. Elles se rendent à Londres et ils te croisent ? Puis on peut relier à l'alien savant fou ?

Yep ! vous pouvez voir qu'un sois-disant vampire sévit à Londres, Aamoa à l'air adorable donc insoupçonnable mais une fois dans le labo du savant fou et au vu de ses recherches voir que c'est elle... On ouvre un sujet de discutions pour le RP dans flood ? Comme ça on approfondi et on voit avec Sue ?